Témoignages
Témoignage de P, 24 ans, paramédicale :
J’ai consulté Mme Jeangirard à une période où je ne savais plus vraiment ce que je voulais pour mon avenir et où il m’était difficile de faire des choix. Fille unique, mes parents m’avaient, en plus de cela, annoncé leur volonté de divorcer depuis quelques jours. J’avais l’impression d’être totalement perdue et de broyer du noir à longueur de journée. Je ressentis alors le besoin de livrer cette confusion, ce trop plein d’émotions.
L’empathie et la bienveillance avec lesquelles Mme Jeangirard m’a reçue m’ont dans un premier temps permis de poser mes « valises émotionnelles » et de faire le point sur la situation dans laquelle je me trouvais. Le nuage noir qui obstruait mes pensées s’estompait déjà quelque peu. Elle m’a ensuite proposé de pratiquer le neurofeedback, technique qui m’était jusque-là inconnue et dont elle m’a expliqué le déroulement. A l’issue de cette séance de neurofeedback je me sentais un peu fatiguée mais aussi et surtout légère, comme si le nuage de pensées obscures que je broyais depuis des semaines s’était envolé.
Les jours suivants, j’avais plus confiance en moi. J’arrivais à faire des choix et prendre des décisions là où j’étais bloquée auparavant. J’étais plus motivée pour mes activités quotidiennes et j’envisageais mon futur de façon positive.
Aujourd’hui, je peux donc dire que cette unique séance de psychothérapie combinée à la technique de neurofeedback m’a permis de sortir de la torpeur dans laquelle je baignais depuis plusieurs semaines, d’améliorer mon sommeil, d’avoir plus confiance en moi et d’augmenter ma motivation au quotidien.
Témoignage de la maman de Nora :
« Une expérience intéressante et enrichissante, car bien expliquée et détaillée dès le début. Ma fille avait quelques petits problèmes de concentration et d'équilibre ( elle tombait, trébuchait régulièrement ) ...après la troisième séance on a pu voir la différence dans son degré de concentration et constaté beaucoup moins de chutes. De plus, elle était très contente d'aller aux séances qui s'apparentait a une séance de cinéma.."
Témoignage de Lise, étudiante :
"Lors d'une séance de neurofeedback, je me sens bien et je prends conscience de l'état de désynchronisation de mon cerveau quand la musique n'arrête pas de se couper mais ça ne me fait pas peur. Souvent après la séance j'ai des picotements au niveau du cuir chevelu et un incroyable regain, d’énergie. J'ai les idées qui fusent. A distance, je ressens le stress sans qu'il me paralyse comme autrefois. j'ai confiance en mes capacités et je me sens plus armée pour agir. j'ai l'impression de voir plus clairement ce que je dois faire et comment. Parfois c'est comme si les réponses venaient d'elles mêmes, comme si une fois le cerveau libéré de parasites prenait enfin conscience de solutions qui étaient déjà présentes mais masquées."
Témoignage de Pauline , 39 ans, professeur de danse :
« J'ai découvert le NeuroFeedBack au hasard d'une rencontre et j'ai été immédiatement intéressée pour découvrir ce nouvel outil. Je ne m'attendais pas à de tels effets!
- sur le plan physique, gérant un asthme sévère depuis plus de 20 ans, j'ai vu mes crises disparaître totalement, puis revenir entre les séances pour finalement disparaître à nouveaux de plus en plus longtemps même avec des séances de plus en plus espacées. Très allergique, je suis maintenant nettement moins réactives à la plupart des allergènes. J'avais perdu l'odorat depuis 2 ans et sans me le faire retrouver complètement, le NFB a apporté un retour de palettes d'odeurs. Mon tonus général a été meilleur presque immédiatement et cela perdure aujourd'hui. Moins besoin de sommeil, meilleure récupération musculaire (je suis danseuse), meilleur état de la peau...
- Sur le plan émotionnel et psychologique, cela m'a fait retraversé des émotions "coincées" et m'a permis alors de les accueillir et de les "digérer" pour dépasser des blessures anciennes. J'ai la sensation d'y voir plus clair et d'être plus en capacité de faire des choix bons pour moi.
C'est un outil que je recommande très vivement à tous car il apporte de grands bienfaits sur tous les plans. »
Témoignage de Christophe, 23 ans, étudiant en masso-kinésithérapie
En 2016 cela faisait quatre ans que j’étais éjaculateur précoce. Je n’avais pas osé en parler à une sexologue, et je ne me voyais pas aller chez une psychologue pour ça… Je suis allé voir plusieurs praticiennes en Neurofeedback, cette technique présentant l’intérêt principal de ne pas être obligé de parler de ses problèmes pour qu’ils se règlent. J’ai fini par aller voir Perrine JEANGIRARD, qui s’était lancée à l’aventure, et le fait qu’elle soit psychologue apporte quand même un vrai plus : l’empathie et l’intérêt dont elle a fait preuve ont accéléré les choses. Le premier ressenti est que chacune de ses paroles bienveillantes n’est pas dite au hasard et qu’elles touchent juste. Cela assure une pérennité des effets des séances sur le long terme. Ce n’est qu’à la quatrième séance que j’ai vu les premiers effets : juste une sensation de mieux-être, au départ. Au fur et à mesure des séances je me suis libéré de toutes les émotions que j’avais enfouies et qui me restaient accrochées au cœur sans que j’en aie conscience. Un poids mort de boule de nerfs qui s’exacerbait à la moindre réflexion, à la moindre interrogation. Il y a donc des soirées où j’ai été pris d’intenses émotions, une colère inexpliquée, des larmes qui coulent sans s’arrêter sans raison apparente… Des émotions qui n’étaient que les dernières gouttes de barrages détruits et qui devaient finir de s’écouler.
Une des particularités du Neurofeedback est que les changements ne s’opèrent pas forcément là où on s’y attend. Je me souviens notamment d’un soir où j’étais dans les bras de mon amie, et je me suis rendu compte que je n’avais pas envie qu’elle se colle à moi, qu’elle me fasse de câlin. C’était une première pour moi, et je m’en rendais compte à ce moment-là : j’avais toujours eu, tout le temps, constamment besoin de câlins, de démonstration d’affection. Ce jour-là je me suis demandé si j’étais encore amoureux, puisque moi j’associais toujours l’envie de câlins au fait d’être amoureux. Je me suis rendu compte ce jour-là qu’effectivement j’étais « pot de colle », et que c’était fini. La séance d’après a rééquilibré la situation : j’étais passé de ‘pot de colle’ à ‘tu-me-touches-pas’ puis ‘j’aime tes câlins mais j’ai besoin de moments pour respirer’. Normal, quoi. Ce n’est qu’après que j’ai vu tout l’impact : j’étais perpétuellement en manque de contact physique, à tel point que je me disais qu’aucune de mes copines ne m’avais aimé puisque à un moment donné elles avaient toutes refusé un de mes innombrables câlins. Je ne me sentais pas aimé, et ma confiance en moi avait diminué, jusqu’au point où j’étais devenu précoce. En résumé. C’est sans doute beaucoup plus compliqué que ça.
Toujours est-il qu’à présent je me sens beaucoup plus confiant, en paix avec moi-même. « Droit dans mes baskets ». Je ne suis plus précoce, mais avec le recul je vois bien que ce n’était pas le plus important. Je m’assume en tant que ce que je suis, avec mes faiblesses et mes défauts. J’aime ce que je suis.
Témoignage du Dr W. Ott, 76 ans, Chirurgien Pédiatrique Allemand :
"Mon expérience subjective est la suivante :
Après ma 1ère séance (faite le 12 octobre 2016) j'ai senti beaucoup plus de joie, d'entrain dans mes décisions et je suis devenu très productif intellectuellement.
Après ma 2ème séance (faite le 18/01/17), j'ai senti une augmentation de ma concentration, de mon argumentation intellectuelle, philosophique et psychologique et de mon état de sante. L'effet est permanent et dure depuis un an.
Je vous en remercie bien. Merci !"
Témoignage de Christophe P. , 60 ans, concernant l'effet sur les allergies :
"Je témoigne ici pour partager mon expérience de neurofeedback du Printemps 2017.
Je souffrais depuis plusieurs années d'Allergie Chronique au pollens de platanes et de cyprès, laquelle s' aggravait à chaque nouvelle saison.
Nécessitant antihistaminiques et piqûre à la cortisone, lesquels ne suffisaient plus à stopper mes quintes de toux répétitives! et très handicapantes pour ma vie au quotidien.
Une amie m'a alors suggéré d' essayer le NEUROFEEEDBACK.
Ce que j 'ai entrepris en pleine période de pollens de ce printemps 2017.
Dès ma première séance de Neurofeedback, j'ai constaté une nette baisse de fréquence et d' intensité de mes quintes de toux.
Au bout de 3 séances, j'ai arrêté par moi-même de prendre les antihistaminiques quotidiens et constaté une baisse sensible, puis complète de mes réactions allergiques et en particulier de mes quintes de toux qui compliquaient fortement ma vie au quotidien.
Merci Perrine pour ton aide et merci au Neurofeedback, qui a permis à mon corps de s'auto-réparer.
J 'ai découvert avec le Neurofeedback, une méthode douce qui a permis au corps par le biais de notre cerveau, de mettre en place son propre mécanisme d'autorégulation et d'auto guérison.
J’espère que mon témoignage permettra a ceux ou celles qui souffrent de ce type de maux ou d'autres maux non résolus, à se décider avec confiance à essayer cette méthode douce et non invasive qu 'est le NEUROFEEDBACK, car c'est une belle et enrichissante expérience."
Témoignage de Laurence :
Le neurofeedback est l'outil le plus "performant" que j'ai jamais rencontré et pourtant j'ai été à de multiples reprises emballée, émerveillée par d'autres outils ( Emdr, rêve éveillé, méditation, feldenkreis , psycho- thérapies diverses ,constellations familiales, acupuncture, ostéopathie, etc...j'en oublie...) . je mêle volontairement les outils psychiques, physiques, émotionnels, spirituels car dès la première séance , alors que je venais suite à une successions de coups durs, deuils et chocs répétés accumulés qui me menaient chaque jour vers des profondeurs inquiétantes, je fus la première surprise de voir disparaitre dès la première séance une douleur au bas du dos présente depuis 19 ans suite à un accouchement . Puis de ressentir une légèreté dans ce corps si lourd , une impression de retrouver la sensation exacte d'avoir mes jambes de petite fille, si légères ! Pourtant, Je ne venais pas pour ça ???
Puis les nuits qui ont suivi, impossible de dormir moi qui ai passé une grande partie de ma vie avec un syndrome de fatigue chronique et hypersomniaque depuis l'enfance, mon énergie était décuplée !
Les séances suivantes ont vu se réguler mon sommeil avec des besoins diminués de 2 heures par nuit et me donner l'impression d'être "réinitialisée" , comme si je retrouvais tout ce qu'il y a de plus performant en moi, comme une voiture flambant neuve . L'impression d'avoir médité pendant 30 ans, me sentir en lien avec moi même intérieurement, physiquement, un calme profond , un effacement total de ce fardeau qui me menait sans doute vers un épisode dépressif si je n'avais pas fait ces séances.
La culpabilité aussi que je portais avait disparu et je me surprenais même à ne plus pouvoir taire certaines choses , une désinhibition certaine et salutaire m'envahissait !
En 6 séances, j'étais "au point" ! Mais comment était ce possible d'avoir passé toutes ces années à chercher , à farfouiller dans le passé ?
Au risque de choquer ou de me faire passer pour une illuminée, je peux dire que cet outil remet en question divers pratiques thérapeutiques . Aujourd'hui, nous n'avons plus le temps d'attendre, les neuro- sciences nous permettent ,c'est dans l'air du temps, d'aller à la source résoudre les défaillances, les blocages, les traumas, pourquoi vouloir les garder comme des trésors , s'y accrocher comme à des bouées, alors que la vie commence après. Retrouver qui on est, ce pour quoi et comment on a été créé, avec tant de force, de beauté, de potentiel , et vivre enfin !
Je pense que chacun a son parcours et que tout le monde ne réagit pas aussi rapidement au neurofeedback , mais j'ai du mal à imaginer que le cerveau ne cède pas au bonheur de se réorganiser .
Par ailleurs, les désinhibitions, qui si elles n'étaient pas accompagnées pourraient bouleverser négativement des vies, c'est pourquoi la formation du praticien est importante, ainsi que son vécu personnel du neurofeedback afin de pouvoir aider et accompagner les séances, c'est la cas de Perrine auprès de qui l'on peut trouver appui , positivité et joie de partager notre expérience .
Témoignage
En 2016 cela faisait quatre ans que j’étais éjaculateur précoce. Je n’avais pas osé en parler à une sexologue, et je ne me voyais pas aller chez une psychologue pour ça… Je suis allé voir plusieurs praticiennes en Neurofeedback, cette technique présentant l’intérêt principal de ne pas être obligé de parler de ses problèmes pour qu’ils se règlent. J’ai fini par aller voir Perrine JEANGIRARD, qui s’était lancée à l’aventure, et le fait qu’elle soit psychologue apporte quand même un vrai plus : l’empathie et l’intérêt dont elle a fait preuve ont accéléré les choses. Le premier ressenti est que chacune de ses paroles bienveillantes n’est pas dite au hasard et qu’elles touchent juste. Cela assure une pérennité des effets des séances sur le long terme. Ce n’est qu’à la quatrième séance que j’ai vu les premiers effets : juste une sensation de mieux-être, au départ. Au fur et à mesure des séances je me suis libéré de toutes les émotions que j’avais enfouies et qui me restaient accrochées au cœur sans que j’en aie conscience. Un poids mort de boule de nerfs qui s’exacerbait à la moindre réflexion, à la moindre interrogation. Il y a donc des soirées où j’ai été pris d’intenses émotions, une colère inexpliquée, des larmes qui coulent sans s’arrêter sans raison apparente… Des émotions qui n’étaient que les dernières gouttes de barrages détruits et qui devaient finir de s’écouler.
Une des particularités du Neurofeedback est que les changements ne s’opèrent pas forcément là où on s’y attend. Je me souviens notamment d’un soir où j’étais dans les bras de mon amie, et je me suis rendu compte que je n’avais pas envie qu’elle se colle à moi, qu’elle me fasse de câlin. C’était une première pour moi, et je m’en rendais compte à ce moment-là : j’avais toujours eu, tout le temps, constamment besoin de câlins, de démonstration d’affection. Ce jour-là je me suis demandé si j’étais encore amoureux, puisque moi j’associais toujours l’envie de câlins au fait d’être amoureux. Je me suis rendu compte ce jour-là qu’effectivement j’étais « pot de colle », et que c’était fini. La séance d’après a rééquilibré la situation : j’étais passé de ‘pot de colle’ à ‘tu-me-touches-pas’ puis ‘j’aime tes câlins mais j’ai besoin de moments pour respirer’. Normal, quoi. Ce n’est qu’après que j’ai vu tout l’impact : j’étais perpétuellement en manque de contact physique, à tel point que je me disais qu’aucune de mes copines ne m’avais aimé puisque à un moment donné elles avaient toutes refusé un de mes innombrables câlins. Je ne me sentais pas aimé, et ma confiance en moi avait diminué, jusqu’au point où j’étais devenu précoce. En résumé. C’est sans doute beaucoup plus compliqué que ça.
Toujours est-il qu’à présent je me sens beaucoup plus confiant, en paix avec moi-même. « Droit dans mes baskets ». Je ne suis plus précoce, mais avec le recul je vois bien que ce n’était pas le plus important. Je m’assume en tant que ce que je suis, avec mes faiblesses et mes défauts. J’aime ce que je suis.